À partir de 2026, les voitures d’occasion vont aussi passer à la caisse !

À partir de 2026, les voitures d’occasion vont aussi passer à la caisse !

Eh oui, c’est officiel : même les véhicules d’occasion n’échapperont plus au malus écologique.
Dès 2026, l’État prévoit d’appliquer une taxe environnementale à certaines voitures déjà en circulation. Une manière — dit-on — d’encourager les Français à rouler plus propre… ou de remplir un peu plus les caisses ?

💸 Les occasions dans le viseur

Jusqu’ici, le malus écologique frappait uniquement les véhicules neufs trop polluants. Mais le gouvernement veut désormais l’étendre à une partie du marché de l’occasion.
Autrement dit, si vous achetez un véhicule d’occasion un peu trop gourmand en CO₂, vous pourriez devoir payer un supplément au moment d’immatriculer le véhicule à votre nom.

Bien sûr, un abattement d’ancienneté est prévu : plus la voiture est vieille, moins la note est salée. Mais pour certains modèles récents et puissants, la facture pourrait quand même piquer un peu.

⚙️ Une mesure pour “verdir” le parc… ou le marché fiscal ?

Officiellement, cette mesure vise à réduire les émissions et à accélérer la transition vers des véhicules plus propres.
Officieusement, beaucoup y voient une façon subtile d’imposer un malus rétroactif à ceux qui n’ont pas payé de taxe lors de la première mise en circulation.

Et pendant ce temps, le parc automobile français vieillit : plus de 11 ans d’âge moyen ! Autant dire que les vieilles voitures vont encore tenir la route, même avec quelques taxes dans le coffre.

😏 Les automobilistes grincent des dents

Dans les garages et concessions locales, on s’attend déjà à quelques discussions animées.
Entre ceux qui ne comprennent plus le barème du malus, ceux qui se sentent “punis deux fois” et ceux qui préfèrent carrément garder leur vieille voiture plutôt que d’en racheter une… la route s’annonce mouvementée.

Un garagiste ironisait récemment :

“À force de taxer, bientôt on paiera un malus pour respirer à côté d’un diesel !”

🧾 En résumé

• Entrée en vigueur prévue : 1er janvier 2026

• Véhicules concernés : certains véhicules d’occasion polluants (CO₂ élevé ou poids important)

• Objectif affiché : verdir le parc automobile

• Réalité ressentie : un nouveau coup dur pour les automobilistes

🚦 Conclusion

En 2026, acheter une voiture d’occasion pourrait ressembler à une épreuve du Code de la route fiscale.
Alors avant de craquer pour un SUV de 2019, mieux vaut vérifier la ligne “émissions de CO₂” sur la carte grise… et peut-être garder encore un peu votre bonne vieille voiture — elle aussi, désormais, vaut de l’or !